Tout ce qui est obtenu par la contrainte est illégal. C'est une loi humaine dont je ne connais pas les termes exacts mais dont c'est le fond. Cette loi humaine est le point de départ de la raison qui rend obligatoire d'établir un contrat natal, car sans cela tous les abus peuvent survenir...
Aucun humain ne devrait être libre de créer un humain sans l'accord de la société, car aucun humain ne devrait être libre de jouer avec la liberté des autres. La liberté est le bien le plus précieux de l'humanité, et un enfant est un humain parait-il! Une femme ne peut donc sous prétexte de sa propre liberté mettre un enfant au monde sans toutes les précautions préalables. Elle ne peut revendiquer sa liberté sur le dos de l'enfant, notre associé à tous.
Comme la Vie est obtenue sans l'accord de l'enfant, c'est donc une contrainte pour l‘enfant. Et puisqu'il y a contrainte, mais qui est une nécessité pour que la société perdure, il faut que chaque individu, surpris d'être sur Terre sans accord préalable, obtienne des garanties. Un être humain étant un être social coopté par la société, il ne peut qu'être maintenu en vie, donc nourri gratuitement et bien entendu soigné gratuitement (Cela me semble la moindre des choses et le minimum.).
Il faut bien que le contrat social soit établi à un moment donné de la phylogenèse, ce n'est pas à la cellule initiale qu'on aurait pu demander ça, ni à nos ancêtres cromagnons, alors pourquoi pas maintenant? Faut-il attendre encore longtemps pour nous débarrasser de la pelisse de notre aïeul?
Ce contrat, à la différence des droits de l'Homme doit être établi entre les parents et le parrain témoin de l'enfant à naitre, et contresigné par l'État qui doit s'assurer que les termes sont respectés, et prendre la relève en cas de défaillance.
La perversion c’est agir sur un autre, c’est contrôler l’autre. Toutes les mères et tous les pères sont des pervers. La perversion sur un être, faible, sans aucun pouvoir, inconscient, est la pire des perversions.
Madame, tu vas mettre au monde un enfant pour pouponner (ou peut-être par accident comme il arrive le plus souvent! Beaucoup de femmes disent « je suis tombé enceinte », comme on se casse la figure.). Tu prétends lui donner Vie pour lui-même, comment est-ce possible puisque tu ne peux savoir à l'avance qui il sera. Peux-tu savoir si tu ne vas pas engendrer un monstre physique ou moral? Ton souhait de beauté et d'intelligence repose sur des statistiques en sa défaveur. Ouvre les yeux, regarde dans la rue. Demande à maman Hitler, à maman Landru, ou à maman Elephantman. Sur les trois, la dernière est la mieux lotie, mais c'est probablement celle qui a subie avec le plus d'horreur la naissance de son fils. Cesse de rêver et de croire que la vie sera toute rose grâce à cette naissance. Ne pense pas qu’à toi, oublie ton égoïsme animal. Un enfant n’est pas une cigarette. Un enfant n’est pas une expérience à réaliser. Avant d’envisager de mettre un enfant au monde, une femme devrait se demander si elle a le droit de lancer une vie humaine intelligente (peut-être), sensible, impulsive qui devra un jour se poser la même question et celle de sa propre mort.
Si tu te dis: « Mais pourquoi devrais-je donner à mon enfant ce que ma mère ne m'a pas donné? », alors c'est que tu penses à ton futur enfant comme à un ennemi (« Oeil pour oeil, dent pour dent »), dans ce cas tu n'es pas faite pour engendrer. Abstiens-toi.
Ce n'est pas une vague idée que les conditions de subsistance seront suffisantes pour ton futur enfant dans les prochaines années qui doit t'induire à procréer, mais la certitude absolue que toi, et nulle autre, lui garantira une vie de bienêtre parfait, pendant toute la durée de sa vie aussi longue soit-elle, même après ta propre mort. Je ne parle pas de bonheur, mais de bienêtre, qui devrait être le minimum vital pour tout humain.
Si malgré tout tu passes ce cap, si tu persistes, tu te dois de signer un contrat devant notaire avec le futur humain. Une sorte de contrat présume (contraire de posthume). Mais comme le signandaire n'est pas là, arrange-toi pour lui donner tout ce que tu aurais rêvé pour ta propre vie en cent fois mieux. Le contrat minimum est prévu par la loi, mais tu peux rajouter ce que tu veux dans cette liste, n'hésite pas pour le bien de l'enfant et pour ton honneur.
Si les femmes avaient la moindre intelligence, elles demanderaient beaucoup d’argent à la société pour mettre un enfant au monde. Je vous assure que si l’enfant valait cher à la société, l’éducation serait parfaite et il n‘y aurait jamais besoin de prison pour corriger les fautes d‘éducation, car il n‘y en aurait pas. Et les associés que nous sommes tous seraient cajolés tout au long de leur vie par les gouvernants. Est-ce que ce n’est pas votre devoir, pour le bien de votre futur enfant de passer un contrat à la société: « Si tu veux mon enfant, si tu veux un associé, je veux que tu garantisses sa vie, son bienêtre. » Et si la société refuse, proposez-le à une autre société, vous en trouverez bien une qui acceptera. Faites un syndicat de femmes pour défendre vos droits et surtout ceux de vos futurs enfants. C’est votre devoir de donner la meilleure vie possible à votre enfant…
La liberté de procréer n’est pas une liberté qu’on peut revendiquer puisqu’elle met en jeu la mise au monde d’un individu qui ne va pas être libre de naitre et sera prisonnier de sa débilité corporelle et intellectuelle pendant de longues années. C’est comme si on revendiquait la liberté de détenir des esclaves, ou de torturer physiquement et intellectuellement qui l‘on veut. Notre liberté ne peut se faire sur le dos des autres, et votre enfant est un autre, il ne vous appartient pas, il est sous votre responsabilité. Est-ce qu’on peut être libre de procréer, puisqu’on engage la liberté d’autrui dans cet acte? Notre liberté s’arrête là où commence celle des autres. L’enfant est un Autre.
La vie est obligatoire, donc gratuite comme l‘école. (Les Droits de l’Homme affirment que la vie humaine, l’être humain, ne peut être ni vendu, ni acheté. Or l’alimentation est le précurseur de l’être humain, pourquoi est-elle vendue et achetée?) Je réclame la gratuité de la vie, afin de responsabiliser tous les parents et la société. Il est trop facile de mettre un enfant au monde, puis de s'en laver les mains. La gratuité doit porter sur l'ensemble des moyens de se maintenir en Vie décemment dans une société moderne. C'est une suite logique à la gratuité de l'école. Ce qui est vrai pour l'école est vrai pour toute obligation. Voulez-vous que règne encore longtemps la loi de la jungle? Pour la Justice, ne pensez ni à vous ni à la société, pensez uniquement à l'enfant. Est-il normal que l'enfant paie l'envie que vous avez eue de lui?
Personnellement je cherche le bienêtre et non le travail obligatoire. Si l'idée du contrat est juste il faut la réaliser quelles qu'en soient les conséquences immédiates. Nous débattrons des moyens de la concrétiser ensuite... Si vous trouvez cette idée irréalisable, utopique, alors ne mettez pas l'enfant au monde, il ne vous a rien demandé. Vous n'avez pas plus de droits sur lui que vos parents n'en ont sur vous.
Nous sommes une société d’humains. De quel droit introduisons-nous des associés dans notre société commune sans demander l’accord des autres associés. Dans toute entreprise commerciale, cet accord est obligatoire et tombe sous le sens. Il y a des lois sur l'adoption, pourquoi n'y en a-t-il pas sur la conception? Les humains ne sont-ils pas tous égaux en droits?
Berlherm
Notes supplémentaires:
Questions posées et à poser un peu partout : Que pensez-vous du contrat natal comme moyen de lutte contre les nantis ? Que pensez-vous du contrat natal comme moyen de lutte contre l'injustice sociale partout dans le monde ?
Le contrat natal permet de lutter à la base contre les injustices.
Quand vous mettez quelqu'un au monde, vous admettez par cet acte que le monde est parfait pour y installer votre enfant, sinon l'admirable mère, que vous êtes, ne l'aurez pas fait, n'est-ce pas ?
Quelqu'un qui vous pousse dans une impasse à sens unique, dangereuse et mortelle en finalité, comment le qualifiez-vous ? Cette personne c'est votre dictatrice de mère...
Vous êtes maitresse de votre corps, vous devez le démontrer. Mais vous n'êtes pas maitresse du corps de votre enfant qui n'est pas un objet et ne peut vous appartenir, pas plus que vous n'appartenez à votre mère.
Ce que nous réclamons, nous revendiquons dans des manifestations ou grèves, maintenant en tant qu'être vivant adulte et conscient, auprès de nos gouvernements, nous pouvons le prévoir et l'imposer pour l'avenir à nos descendants en imposant un contrat natal.
Si vous n'osez pas établir un contrat natal et exiger la signature de la société, ne faites pas d'enfant. Si la société ne veut pas signer le contrat natal que vous lui présentez, ne faites pas d'enfant. Dans le cas contraire ne prétendez pas que vous allez aimer l'enfant, vous n'êtes qu'une égoïste qui ne vous intéressez qu'à votre maternité et éventuellement à un pseudopatriotisme nié par la société qui refuse la signature. Seul le bien de l'enfant à venir compte, le vôtre et celui de la société sont secondaires. Ne pensez qu'à lui.
Message envoyé à quelques syndicats français et partis politiques.
Bonjour. Il y a un moyen très simple d'obtenir ce que l'on veut... Ce moyen est d'établir un contrat natal, ainsi votre enfant éventuel aura au moins les droits que vous aurez obtenus avant sa mise au monde. Ne faites pas d'enfant avant d'avoir établi un contrat natal avec la société, vos associés. S'ils ne signent pas, c'est qu'ils n'ont aucune considération pour votre enfant à venir. Et si vous-même n'établissez pas de contrat, alors vous ne valez pas mieux. Ne faites pas d'enfant... Ne vous vengez pas d'être au monde sur lui. Votre enfant n'est pas un sujet d'expérience. Vous ne l'aimez pas suffisamment pour établir ce contrat, alors ne faites pas d'enfant. Merci de transmettre ce message et surtout d'y réfléchir.
Les Droits de l'enfant sont les droits d'un futur associé, pour faire respecter ce droit, le mieux est d'établir ces droits avant d'introduire l'associé dans l'entreprise commune. Établissez un contrat natal avec ses futurs associés avant de concevoir cet enfant, c’est la meilleure garantie d'une vie de bienêtre, pour lui.
La mise en danger de la vie d'autrui est punie par la loi ; pourquoi la mise au monde qui est à la base de toutes les mises en danger est-elle autorisée sans contrôle, sans aucune précaution ?
Les femmes ne se sentent aucune responsabilité dans la mise au monde d'un enfant, puisque c'est naturel. Donc elles ont le droit de pondre comme poule ou lapine ! Qu'importe l'enfant et ses conditions de vie ! Seul leur désir importe.
Pourquoi faites-vous des enfants gratis, Madame ? C'est tout juste si vous avez droit à de maigres allocations familiales. La société n'a quasiment aucune considération pour vous. C'est un sacré boulot que vous faites. La vie est la richesse de la société humaine. Mais trop de vie coute cher, ne vous dispersez pas, ne faites pas plus d'enfants que la société ne peut en absorber et que vous ne pouvez aimer vraiment. La société les gaspille vos enfants en chômeurs ou en miséreux, ou en employés de bas niveaux, ou en policier et soldats ce qui est la même chose. La société est demandeuse d'enfants, de travailleurs, de chair à boulots, à impôts, et à canons. Il faut faire payer grassement votre dévouement à la société, Madame. Il ne faut pas penser à vous, mais à votre petit à naitre, établissez un contrat natal en faveur de votre enfant. La société paiera, les riches paieront, et bien entendu votre enfant ne sera lié en rien par votre signature, ce n'est pas lui qui signe. Alors qu'attendez-vous pour un contrat natal. Votre enfant ne doit pas vous couter le moindre argent, il doit vous en faire gagner. Ce n'est pas comme si les hommes pouvaient faire des enfants. Ils n'ont pas ce pouvoir, ils dépendent de vous. Si l'enfant revient cher à la société, la société le chouchoutera bien mieux qu'elle ne le fait actuellement. Il ne sera pas nécessaire de revendiquer après coup par des manifestations qui souvent se retournent contre nous par des coups de matraque, ce sera fait avant et par vous. Tout le monde y gagnera, nos chers petits seront parfaitement éduqués, en bonne santé, aimés avant d'être conçus. Ce n'est pas prétendre que vous allez l'aimer qui compte, c'est votre comportement avant sa conception qui importe. Serez-vous une mère aimante, montrez-le avant de le concevoir. Demander le bienêtre est un minimum. La vie est très difficile et surtout pleine de risques. Votre enfant ne demande pas à naitre, s'il savait ce qui l'attendait, il vous dirait « Eh ! Stop. Je ne veux pas la misère. Je ne veux pas la maladie. Je ne veux pas mourir. Je ne veux pas te voir mourir, ni personne. Es-tu sûr de ce que tu fais ? » La vie est une pente fatale qui dure très peu et encombrée de maladies et dangers mortels. Pousseriez-vous dans le dos votre enfant sur une route à grande circulation ? Non, bien entendu, alors pourquoi le pousser sur cette pente fatale sans précaution ? Soignez notre futur associé à tous, avant de le faire. Car il est notre associé, le terme est employé 28 fois dans la Constitution française et deux fois dans les droits de l'homme. Le mot peuple lui-même signifie communauté sociale. Avant de le mettre au monde, ce pauvre petit, prenez les précautions pour lui. Si votre mère vous a oublié, n'en faites pas autant sur votre bébé, vous n'avez pas à vous venger sur un innocent. C'est une dictature de mettre au monde, la plus aisée des dictatures, la plus indigne peut-être puisque votre enfant n'a strictement aucun pouvoir d'acceptation, y aviez-vous songé ? N'hésitez pas à exiger un contrat natal, et si la société refuse, alors vous saurez à quoi vous en tenir. La société démontrerait ainsi manifestement qu'elle n'a besoin de votre enfant que comme chair à boulot, à impôt et à canon. Elle n'a donc aucune considération pour lui. Ne faites pas d'enfant. Et si vous n'osez pas demander ce contrat natal, ne faites pas d'enfant non plus, car vous ne l'aimez pas suffisamment pour dépasser votre timidité. Avant de concevoir avec votre compagnon, vous vous assurez qu'il n'a pas le sida, qu'il s'est préservé, vous vous inquiétez pour vous. Et bien, faites-en autant pour votre enfant à venir, préservez-le contre les méfaits de la société. Si vous êtes suffisamment nombreuses à faire cette démarche, la société ne pourra que se plier à votre volonté, à vos exigences. Il faut choyer l'idée de votre enfant avant sa conception. Vous participerez ainsi, et surtout vous contraindrez les plus agressifs, à l'amélioration de la société et par là même à l'amélioration des conditions de vie de tous.
Si vous avez fait un enfant c'est que vous trouvez que le monde est parfait, sinon vous ne l'auriez pas mis au monde ce cher petit être innocent, n'est-ce pas Madame, Monsieur ?
Nous sommes tous des enfants esclaves des besoins de pouponnage de notre mère et des besoins sociaux, puisqu'il n'y a aucune autre utilité à nous mettre au monde.
Contrat natal : avant de concevoir un enfant, assurez-vous que le futur petit aura une place en crèche, gratuite de préférence ; une place à l'école, gratuite, proche, de bons éducateurs, etc..
Le contrat de mariage est un contrat de gros. Les contractants, femme et mari, ont le droit de faire autant d'enfants qu'ils veulent comme si l'individu bébé n'avait pas autant d'importance que l'adulte, comme s'il était un objet leur appartenant. L'enfant n'est pas la chair de leur chair, c'est un autre être humain. Le contrat natal remédie à cette déficience légale. Il faut signer pour chaque enfant.
Établir un contrat natal c'est penser avant d'agir.
Vous pouvez également lire la déclaration universelle des droits de l'être humain rationnel: http://berlherm.over-blog.com/article-declaration-universelle-des-droits-de-l-etre-humain-rationnel-91971558.html